J’avais l’habitude, en allant voir des chantiers, de m’arrêter un moment dans un bois sur ma route, au début avec seulement la bite à l’air, plus tard cul nu avec le pantalon aux pieds. Un jour où j’avais ainsi les fesses à l’air, j’ai ramassé un morceau de bois et me le suis enfilé dans le cul. Ce fut une jouissance brutale, inattendue, je m’en souviens encore.

À partir de ce jour, jamais je ne me suis astiqué la bite en extérieur sans me dilater la rondelle, parfois avec un plug emporté à cet usage, parfois avec le levier de vitesses de ma voiture, de plus en plus souvent avec un morceau de bois, de plus en plus gros au fil des mois et des années, fur et à mesure de l’assouplissement de mon trou du cul.

Un jour, me branlant près d’un tas de rondins, il m’est venu l’idée géniale de m’en planter un dans les entrailles. J’ai bien raclé le bord, comme les habituels morceaux de bois mais, cette fois, ça rentrait mal et je risquais de me déchirer l’intestin. J’en ai régularisé le bout et me suis donné du plaisir avec. J’ai ainsi pris l’habitude d’un rondin dans le cul.

Un jour, lors d’une de mes randonnées à poil dans la campagne, je suis passé à côté d’un stère bien rangé sur lequel j’ai remarqué un beau rondin de hêtre, 55 mm de diamètre à une extrémité, 75 mm à l’autre, dont j’ai gratté les deux bouts, l’ai graissé avec la vaseline dont j’ai toujours un tube dans ma voiture, avant de l’avaler gloutonnement par le cul. Pendant tout un été j’allais me dilater le sphincter dans ce bois plutôt qu’ailleurs tant j’appréciais ce rondin. Un jour je l’ai emporté, j’ai scié un morceau d’environ 50 cm à chaque bout, cela me sert de gode et aussi pour me faire travailler le cul, par le bout de 75 mm, par un copain qui trouve ça plus facile que le traditionnel fist. Ces deux morceaux de rondin font partie de ma panoplie usuelle, ce qui ne m’empêche pas à l’occasion, de goûter le passage d’un rondin occasionnel.